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Élection partielle : trois nouveaux centres de vote à Belle-Rose/Quatre-Bornes

La circonscription numéro 18, Belle-Rose/Quatre-Bornes aura trois nouveaux centres de vote, en cas d’élection partielle. Avec la trêve parlementaire, les procédures en vue de la tenue de l’élection partielle dans cette circonscription devraient s’accélérer.

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En effet, selon les renseignements dignes de foi, la commission électorale utilisera pour la première fois la Quatre-Bornes State Secondary School, Sodnac State Secondary School et le collège Gaëtan Raynal. À la lumière du recensement électoral de 2016, dix centres avaient déjà été identifiés.

La commission électorale réactualise actuellement le registre électoral. Selon la loi, un nouveau registre est publié le 16 août de chaque année. L’exercice débute au mois de janvier par le ‘house-to-house canvassing’. Les personnes en âge de voter peuvent, au mois d’avril, vérifier si leurs noms sont dûment enregistrés là où ils habitent.

Nombre d’électeurs en baisse

Selon le dernier recensement effectué dans la circonscription de Belle-Rose/Quatre-Bornes, le nombre d’électeurs a accusé une légère baisse.  Alors qu’il était de 42 930 en 2016, il est passé à 42 051 pour 2017, soit une différence de 879 électeurs.

Avec les vacances parlementaires, les consultations devraient démarrer en vue de respecter le calendrier légal pour la tenue de cette partielle.

Selon les dispositions de la loi, le Writ of Election doit être émis au plus tard le 21 septembre, soit 90 jours à compter du 23 juin, date de la démission de Roshi Bhadain de l’Assemblée nationale. Le délai pour le tenue de la partielle au No 18 expire le 18 février 2018.

Le dernier mot revient toutefois au Premier ministre. Il peut à tout moment demander au commissaire électoral d’émettre le Writ fixant la date du dépôt de candidatures et celle du scrutin. Malgré la publication de ces deux dates, le Premier ministre peut, même à la veille de la date fixée pour la partielle, demander à la présidente de la République de dissoudre la Parlement et de rappeler l’ensemble du pays aux urnes. Ce fut le cas en 1987.

En attendant de savoir si la majorité gouvernementale alignera un candidat, Roshi Bhadain du Reform Party, Nita Juddoo du Mouvement militant mauricien, Dhanesh Maraye du Parti mauricien social-démocrate, Arvin Boolell du Parti travailliste et Kugan Parapen de Rezistans ek Alternativ labourent déjà le terrain.

 

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