Bollywood

Dream Catcher : premier film international pour Dharmendra

Dharmendra, 81 ans, a dû attendre plus d’un demi siècle pour décrocher un film international. Le projet, intitulé Dream Catcher, est un court-métrage.

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Même à cet âge, Dharmendra se considère toujours comme un débutant prêt à apprendre les nouvelles techniques du cinéma. Le travail est une religion pour lui. S’il n’est pas devant la caméra, il se trouve sur sa ferme. Il est toujours très passionné par le cinéma.

Le secret de sa bonne santé ?

« J’ai fait des exercices régulièrement. Mon âme est pure et il m’indique quand j’ai tort. Mes racines sont toujours ancrées à mon village natal », a avancé le vétéran acteur, qui complétera bientôt ses 60 ans au cinéma.

Dharmendra a fait un tabac avec des films tels que Bandini, Satyakam, Raja Jani, Pratigya, Sholay, Chupke Chupke, Apne, et Yamla Pagla Deewana.

Il espère que son petit-fils Karan (fils de Sunny Deol) qui débute avec Pal Pal Dil Ke Paas obtienne le même amour et admiration du grand public.

Il a accepté Dream Catcher à cause de son thème. Mis en scène par Santoshh Shivamm, il réunit Pooja Priyanka et l’acteur australien Travis Jeffery. Cette coproduction indo-australienne, tournée en collaboration des producteurs Rishi Raj Films et Kinopticon Productions, basées en Australie, est écrite par Rahul B. Seth.

D’une durée de 20 minutes, le film, tourné à Delhi et à Mumbai, est une histoire d’amour avec de l’emphase sur le rôle que joue la technologie dans une relation. « Le film attire l’attention de la façon dont la technologie est mal-utilisée par les jeunes. Les machines sont en train de prendre les enfants de leurs parents », a dit Dharmendra, qui se met dans le rôle du père de Pooja.

Il est bon de faire ressortir que Dharmendra avait joué dans  Shalimar  (1978), une production de Suresh Shah, mise en scène par Krishna Shah. Ce film avait un casting international comprenant de Zeenat Aman, Shammi Kapoor, Prem Nath, Aruna Irani, l’acteur britannique Sir Rex et les Américains John Saxon et Sylvia Miles. La version en anglais du film était intitulé Raiders of the Sacred Stone. Un cinéaste avait même tourné un documentaire, intitulé Hamara Dharam dans les années 80.

 

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