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Drôle d’interpellation 

Etrange périple pour un habitant du Sud. Le 28 août dernier, il reçoit un appel. Au bout du fil, un policier qui dit être affecté aux Casernes centrales, sans préciser à quel département, lui demande de se rendre aux Casernes pour donner sa version dans une affaire où il est impliqué. Ne sachant pas de quoi il s’agit, le Sudiste décide de s’y rendre.

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Une fois sur place, il tombe sur deux policiers devant les Casernes, qui semblaient l’attendre. Il se présente et explique qu’il a reçu un appel. Il est, alors, emmené dans une salle et on lui fait comprendre qu’une personne l’accuse de harcèlement et qu’il y a une déposition contre lui. Il demande, cependant, à voir la déposition, mais affirme qu’on a refusé de la lui montrer. Le Sudiste explique qu’il a mis la pression sur les policiers pour connaitre, au moins, l’identité de la personne qui a porté plainte contre lui. Finalement, on lui explique qu’il s’agit d’une femme et il se trouve que cette dernière est une amie de la famille. «Mo finn dir bannla ki c imposib et less mwa telefon tifi la, me zott refize, lerla mo dir less mo telefon avocat ». 

Selon les dires du Sudiste, le ton est monté d’un cran et les policiers lui ont affirmé qu’il n’y avait pas de déclaration « as such » et l’ont laissé partir. La personne a par la suite pris contact avec des hauts gradés des Casernes pour tirer cette affaire au clair. Il se trouve que les hauts gradés ne sont pas au courant de cette plainte et lui ont promis de prendre des actions. Une fois à la maison, il a contacté l’amie en question. Elle lui a fait comprendre qu’elle ne ferait jamais une chose pareille et ne comprend pas pourquoi il a été convoqué par des policiers. 
 

 

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